Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le puits vers la source de notre véritable nature.

Publié le par Perceval

Il est souvent utilisé l’image du puits que chaque spiritualité creuse, pour atteindre le fleuve souterrain unique que serait la Vérité. Chacun peut s’imaginer posséder la seule eau qui désaltère… Jésus devant la samaritaine n’oppose pas le temple de Jérusalem à celui du Mont Garizim… Non, Juif, il répond à la question: « Femme, ce n'est ni sur cette montagne, ni à Jérusalem, qu'il faut adorer, mais en esprit et en vérité. »

Lors de cette rencontre, l’eau d’abord demandée au bord du puits s’est chargée de significations successives ( de l’eau pour ne plus venir au puits jusqu’au prophète reconnu et à « Je te donnerai à boire de l’eau qui fait que tu n’auras plus jamais soif », pour désigner la réalité divine qu’est la vie éternelle, et qui n’a de sens que selon la foi.

Elle illustre parfaitement l’affirmation de H. de Lubac, pour lequel « le passage de la lettre à l’esprit est le mouvement même de la metanoia », c’est-à-dire de la conversion.

samaritaine puitsC'est à cette femme, et non aux apôtres, que Jésus va décrire la véritable religion de l'Esprit! C'est en elle qu'Il va construire et susciter le sanctuaire éternel, le seul Temple de Dieu, le seul Sanctuaire du Nouveau Testament qui est nous-même, dans notre esprit, dans notre coeur, dans cet échange total de nous-même avec Dieu qui se communique infiniment à nous. ( Zundel )

Cette liturgie au bord du puits, que me donne Jésus, avec sa parole et les outils nécessaires pour m’abreuver à sa source, n’est pas moins vitale pour moi que ne peut l’être le ‘dharma’ pour un bouddhiste. Et cette constatation n’enlève rien à ma foi en Jésus le Christ, fils de Dieu, mort et ressuscité. Dieu - lui même Trinité -, est au cœur de la relation. Il est là, au cœur de ma liberté et de ma recherche vers ma véritable nature ( … de Bouddha… :-) ).

Voir les commentaires

Critique, croyance et Foi.

Publié le par Perceval

DIVINITE-INDHOUE-1La critique religieuse de Jésus, ne porte pas sur une religion. Jésus est tout à fait juif. Sa critique porte sur les ‘croyances’ établies de la religion.

«  La croyance ne supporte pas la critique, alors que la foi ne peut que la désirer » Maurice Bellet. La ‘critique’ ( ou le questionnement, ou le paradoxal, ou la libre pensée …) est au cœur de l’Evangile. D’ailleurs Maurice Bellet, situe le théologique en rapport avec la philosophie et la psychanalyse qui n’existeraient pas sans la critique .. !

Ce que la science m’apprend, c’est que la réalité est à la rencontre de plusieurs disciplines : l’astronomie, la biologie, mais aussi les sciences humaines, avec leurs méthodes différentes. De même la Vérité, n’exclut aucune religion même si la pratique de l’une n’inclut pas la démarche d’une autre. L’une peut et doit éclairer l’autre. Cependant, l’homme ou la femme dans ses limites, se doit de bien connaître sa voie, pour s’enrichir d’une autre… au risque d’un syncrétisme que même les méthodes scientifiques rejettent.

Et pourtant, les biologistes ne considèrent pas qu’ils possèdent - à l’exclusion des psychologues, et d’autres disciplines – les seules vraies méthodes ; et ce « relativisme » ne met pas en cause la vérité des découvertes en Biologie … !

Autre point sur lequel, il serait bon de s’interroger quand on propose à quelqu’un d’une autre culture, de se convertir : c’est ce qu’il advient de ce qui, chez cette personne, ne s’est pas directement exprimé et qui pourrait le faire au travers de son inconscient… ? Je pense aux archétypes et au symbolisme qui continuent souvent de s’exprimer dans l’ancienne culture.. ?

Voir les commentaires

Ce que me dit Spinoza :

Publié le par Perceval

Comme les premiers chrétiens, Spinoza spinozafut accusé d’être athée, et rejeté de sa communauté juive d’Amsterdam.

-          Spinoza pense que tout ce qui est, est en Dieu. Ainsi, il dénonce la spéculation de ceux qui adressent des prières, des offrandes pour une cause, et qu’ainsi ils bafouent l’Amour divin, qui implique de ne pas  « faire effort pour que Dieu [nous] aime à son tour » !

-          Que de fois, chez les chrétiens, j’entends non sans mal, l’affirmation de la volonté de Dieu  qui s’exprimerait là ou ailleurs… Comme si - et maintenant je cite Spinoza - « à interroger sans relâche sur les causes des évènements, jusqu’à ce que vous vous soyez réfugié dans la volonté de Dieu, cet asile de l’ignorance » ( Ethique : 1677 ). C’est bien dit …

Voir les commentaires

Le désir

Publié le par Perceval

Que de mal-entendus, sur « le désir », entre spiritualités même !

Homme et femme Jeremy MoncheauxS’agirait-il d’abandonner tout désir pour accéder à l’éveil, à la vie éternelle.. ?

Svâmi Prajnânpad invite ses disciples, c’est à dire à ceux qui emprunte la Voie, à ne pas renoncer aux choses agréables ou désagréables, le plaisir comme la peine… Il considérait qu’un ‘humain’ ne pouvait se rendre libre d’un désir qu’en le satisfaisant consciemment et accéder par là, à la connaissance véritable de ce qui est alors en jeu, et au ‘ lâcher-prise ‘ et à la délivrance…

C’est ainsi, que j’ai quelques doutes sur la réalisation d’un esprit ‘chaste’ chez quelques hommes qui ont choisi le célibat religieux, sans expérience conjugale. Je doute parfois de quelque enseignements traitant de la conjugalité quand ils viennent d’eux. Je redoute leur comparaison de l’amour conjugal et de l’Amour entre l’Eglise et Dieu, craignant derrière - je ne sais quel fantasme d’une nuptialité éternelle ou idéale, qui n’est point humaine .. !

A mon avis, l’ordination d’hommes ( et de femmes ) mariés, libéreraient le christianisme d’une théologie de l’amour – si peu incarnée- qui joue sur les mots, et confond nuptialité et conjugalité.

Voir les commentaires

La non-dualité

Publié le par Perceval

PrajnanpadLa non-dualité (*): La ‘connaissance’ culmine quand on accepte qu’il n’y a pas dualité mais unité.

Svâmi Prajnânpad enseigne : «  Vous êtes la dualité ici et maintenant. Voyez cette dualité, connaissez cette dualité, accomplissez cette dualité et laissez cette dualité dépérir. »

Ce que la dualité me dit, à moi catholique, c’est qu’au travers du message de Jésus, je retrouve cette compréhension d’un état au-delà du « j’aime ou je n’aime pas », du « bon ou mauvais », du « pur ou de l’impur » , de « la maladie ou de la bonne santé »… Cet au-delà de ma demande, de ma prière, de ma plainte … Au risque du mal-entendu… !

« Justice et Droit sont l’assise de son trône » ( Ps. 96, 2). Et, « Dieu n’a pas envoyé le Fils dans le monde pour juger le monde , mais pour que le monde soit sauvé » ( Jean 3, 17). Non.. pas de contradiction ; mais «  en la bonne nouvelle, la justice de Dieu se révèle » ( Rom. 1, 17). Le non-jugement, la non-dualité, sont les attributs de Royaume…

 

(*) Dans le cadre de la tradition religieuse indienne la plus ancienne : l’Advaita Vedânta, Svâmi Prajnânpad, est un sage accompli. Il mène une vie simple et frugale… Son rayonnement a touché Arnaud Desjardin, André Comte-Sponville…

Voir les commentaires

L’Islam.

Publié le par Perceval

pierre-claverie-1938-1996L’Islam. Deuxième religion de l’humanité, et deuxième religion de France.

« Nous avons en commun un seul Dieu ( le même ?) et pourtant nous ne nous connaissons pas ! »

Avant l’an mil, les sarrasins ne sont pas identifiés, comme d’une autre foi : point de reconnaissance du monothéisme, mais perception d’une non-foi, ou d’une idolâtrie. Avec les croisades, le monde chrétien s’identifie petit à petit comme « chrétienté ». Le musulman est perçu comme l’ « autre », il fascine et révulse … ( la « mahométan » est violent, fanatique et perfide .. !). Pourtant, si on ne reconnaît pas au musulman , la dignité du croyant, on peut se nourrir des sciences arabes…  Il peut susciter la curiosité et l’intérêt de Montaigne, Montesquieu, et Molière. Au XVIII ème siècle, la mode est aux « Mille et une nuits » …

Pendant la colonisation, les musulmans n’ont pas accès à la nationalité française. L’islam peut être un facteur d’opposition, voire de rebellion…

 

Aujourd’hui, nous n’avons pas encore décolonisé nos imaginaires !

Voir les commentaires

Transmettre :

Publié le par Perceval

C’est de l’audace… de vouloir parler de Dieu. Les mots, employés par Elisabeth Parmentier ( théologienne protestante, résonnent bien en moi…

Petit PrinceParler, un peu pour donner écho, à une Parole qui vient d’ailleurs… Parler de son expérience avec les mots de la théologie. La théologie pour l’analyse, le recul et la critique.

Notre expérience rencontre La Parole, mais aussi le silence. Exister relève du miracle, un ‘ je ‘ dans le néant… ? Il ne s’agit pas de plaquer Dieu, sur toutes les questions !

Où est Dieu ? Comment rencontrer Dieu ? Les réponses qui se contentent de nommer, dire, expliquer… n’en approchent pas.

«  Je tourne autour de Dieu comme autour d’une tour, et je tourne depuis des siècles et je ne sais pas si je suis un aigle ou une tempête ou un grand cantique » Rilke.


La Bible n’est pas une parole de Dieu, dans l’absolu ; il est bon qu’il faille la discerner dans les paroles humaines. Parler de Dieu nécessite une réflexion complexe, nuancée, ce qui peut décourager certaines discussions… Le concept peut figer Dieu dans certaines catégories de pensée. Les termes relationnels ( père, sauveur, ..) disent quelque chose de la relation… Le langage personnel, celui du récit, disent la richesse de la rencontre et les obscurités sur ce chemin…Petit Prince planete

Stéréotypes, tyrannie du quotidien, font obstacles à la création de nouvelles images, de –par exemple – la résurrection .

Transmettre, ce n’est apporter une réponse à une question. C’est , dans la relation d’une confiance, dire «  Voilà, ce qui fait sens pour moi. » Se faire soi-même Parole, ou plus modestement se faire l’écho de cette Parole. «  Prêcher, c’est transmettre le cadeau : cette parole a la puissance du toucher. » E. Parmentier ( pasteur, femme )

Nous pouvons rencontrer Dieu, dans la nature, dans la méditation, … et rester face à notre subjectivité. La lecture de la Bible, accompagnée d’une ‘ tradition ‘ ( les maîtres anciens, reconnus …), met des garde-fous à une lecture subjective.

Voir les commentaires

Faire Eglise : - des ' groupes de maison '.

Publié le par Perceval

Faire Eglise : oui, mais comment … ?

Une initiative interconfessionnelle me paraît du plus grand intérêt : il s’agit des ‘ groupes de maison ‘.

cercle-maconUn groupe local ouvre sur des moments de carrefour, de tensions aussi parfois entre le « moi » et l’église, le « chez soi » et le « chez l’autre », l’organisé et le spontané, l’établi et l’innovant, l’intérieur et l’extérieur, les affinités et la diversité…

Une petite communauté ,ne doit pas nous conforter dans nos certitudes mais pour nous ouvrir à différentes pratiques et pour être stimulés. « Comment puis-je revoir ce que je fais à la lumière de l’expérience de l’autre ? »

-      Au commencement les croyants se réunissent dans le temple car il n’y a pas plus grand, mais également dans les maisons pour la prière, le partage du pain etc. ... Dans les années 150 on voit de plus en plus d’églises maisons et on assiste aussi à une certaine formalisation du rôle du clergé face aux laïcs. Vers 250 des édifices sont réservés aux rassemblements des chrétiens mais sur le modèle des basiliques qui, à l’époque, étaient des bâtiments civils. Vers 400 des bâtiments religieux remplacent les temples païens et l’on assiste progressivement à une transition des petits groupes aux groupes plus larges. 

-      En France, dans les 50 dernières années ont aussi émergé en milieu catholique les grands mouvements : JOC, JAC, JEC, « Vie nouvelle » où des gens se réunissaient en petits groupes. Depuis 1970, sur un autre registre, le renouveau charismatique a également engendré de nombreux petits groupes.

Peut-on faire un lien entre groupe de maison et l’église émergente ? 

On y affirme ne pas vouloir de hiérarchie mais les relations de pouvoir sont bien réelles. Plusieurs questions se posent : dans un petit groupe, comment s’exprime l’autorité ? Comment les groupes inter-agissent-ils ensemble ? Où est la notion d’église ? L’église est-elle le petit groupe ou la mise en réseau de plusieurs petits groupes ? Pour les protestants, l’église est là où des personnes se réunissent au nom du Seigneur, mais structurellement, comment cela s’articule t-il ? 
Pour l’église émergente ces questions d’autorité et de structure sont particulièrement importantes. Presque par principe un petit groupe innovant accordera peu de place à l’autorité. Il privilégiera la souplesse mais, avec le temps, des questions d’organisation s’imposeront. Or, un groupe qui se dévelo
maitre discipleppe a besoin d’être structuré, non dans une structuration qui fige, mais dans une structuration qui permet la croissance et donne des repères. Cette articulation là n’est pas évidente à concrétiser.

Dans le Nouveau Testament, il est incontestable qu’église veut aussi dire communauté locale. Quand Paul parle du corps il pense à une communauté locale, la question n’est pas seulement fonctionnelle, l’idée de l’église en découle. Quand on parle de petit groupe, on parle de modèles différents: est-il au service de l’église, c'est-à-dire d’une identité plus grande, ou bien est-il l’église ? S’il est perçu comme étant l’église on ne va pas le concevoir comme éphémère alors que s’il est un moyen pour faciliter et dynamiser les relations à l’intérieur d’une communauté plus large, pour aider les gens à approfondir leur foi, on ne va pas souhaiter que les personnes s’y éternisent mais qu’elles s’y investissent un temps puis s’investissent ailleurs. Notre conception de l’église aura donc une importance dans la mise en place d’une petite structure. Il est par ailleurs évident qu’appartenir à Christ c’est appartenir à l’église universelle. »  

Dans l’esprit de réseau vers lequel s’orientent les églises, il sera important de savoir, par rapport à chaque groupe, quels services, pas trop lourds, pourraient lui être demandé afin qu’un lien authentiquement chrétien se développe entre tous ». 

Saint François d’Assise : « Témoigne en tout temps et, si nécessaire, utilise les mots »

Voir les commentaires

L’Eglise doit-elle, peut-elle, se transformer …?

Publié le par Perceval

Partons d’une évidence :  « les gens ne supportent plus la structure pyramidale de l’église. Elle n’est d’ailleurs pas conforme à l’esprit du Christ. »

Super-march-.jpgPourtant l’Eglise reste une «  originalité » dans ce monde : ». « Il y a l’étrangeté du Christ qui nous différencie. Le jour où l’on ne voit plus la différence entre un chrétien et le reste du monde, il y a forcément problème. »

 

Pourquoi la transformation de l’Eglise ?
D’abord parce que la société change. On peut se demander si l’Eglise doit être en réaction ou en proaction dans cette évolution de la société. Les modes de fonctionnement en réseaux sont une réalité de notre époque . L’Eglise en tant que corpspentecote.jpg est un organisme vivant… et donc appelée  vivre et à évoluer, à croître et s’adapter. Le Dieu créateur continue sa création entre autre par et pour l’Eglise qui donc se transforme sans cesse. Elle est une communauté vivante – relationnelle -, à l’exemple de la trinité…

Quand l’Eglise se transforme-t-elle ?

Tout le temps… La notion d’émergence n’est finalement pas nouvelle. Parce qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil, et que l’émergence de l’Eglise a toujours eu lieu et doit continuer à s’écrire, il faut prendre en compte le passé pour penser l’avenir, et finalement s’ancrer plus fort dans ses racines pour élargir l’espace de nos tentes (Esaïe 54.2).

Qu’est-ce qui se transforme dans l’Eglise ?

Les domaines de la transformation dans l’Eglise touchent principalement à trois champs : les formes des cultes, la relation entre chrétiens, la présence au monde.

 

« Notre société est marquée par l’individualisme, il y a néanmoins un désir de communication et de convivialité. La transformation de l’Eglise implique aussi d’évoluer dans le rapport d’appartenance à la communauté. S’il semble que beaucoup croient sans appartenir, il s’agit d’engager les gens à appartenir à des communautés de vie ouvertes même souffle_esprit.jpgsans croire au départ afin de développer un chemin de découverte spirituelle. Un moyen fondamental de la transformation de l’Eglise consiste en à la reconnaissance et la mise en valeur d’un réseau d’expériences novatrices, dans lesquelles il faut accepter une part d’échec. C’est en quittant le rivage que la découverte de nouveaux horizons est possible. L’Eglise, pour être pertinente, se doit de garder une part de la radicalité du message de Jésus et de son impertinence. Et bien sûr, pour ne pas que l’Eglise se meure, nous avons besoin de semeurs ! »

http://www.temoins.com/etudes/tout-le-compte-rendu-de-la-rencontre-du-4-octobre-2008.-une-eglise-en-transformation/toutes-les-pages.html

Voir les commentaires

Eglise et religion

Publié le par Perceval

thumb-trinite

L’Eglise n’est pas une hypostase ( comme le sont chaque personne le la Trinité ).

L’Eglise ( en devenir ) est une icône du Royaume…

L’Eglise, Une, est une Eglise de communion…

 

Nous, catholiques, nous devrions admettre que notre religion n’est plus un cadre de vie sociale et culturelle pour la plupart des gens… Les coutumes actuelles, la culture, la famille ( de plus en plus ) nous mobilisent vers d’autres rituels… Aujourd’hui un catholique est une femme, un homme, - de conviction, engagé, donc critique. Cette personne n’est pas quelqu’un qui  défend «  sa chapelle », mais quelqu’un animé d’une espérance qui lui permet de reconnaître dans le visage du prochain, le visage du Christ, donc d’un ‘ Autre ‘ avec tout son mystère… !

A l’image des signes ( miracles ) du Christ , nous devons envoyer au travers de la communication ( nouveau média de la ‘ Parole ‘ ), des ‘signes’ qui puissent se relire dans le ‘ Nouveau Testament ‘.

Eglise CatholiqueRome, aujourd’hui, envoie des messages contradictoires ou illisibles … Benoît XVI est un formidable théologien, et ses mots sont précis, ses textes particulièrement signifiants, et éclairants… pour un catholique de stricte obédience, ou cultivé… L’image médiatique, de la curie romaine renvoie une institution décalée et nostalgique d’un pouvoir qu’elle n’a plus ( et tant mieux…). Par contre, le catholique que je suis est lassé et amer de devoir se justifier d’une telle image …

 

Evangélisation

Voir les commentaires