Le gouvernement français s'inquiète, de ce que le Vatican considère comme les ''problèmes de l'Eglise de France'' ; en particulier celui des prêtres-ouvriers.
Cette expérience de la ''Mission de France'' afin de rechristianiser les milieux ouvriers et ruraux en France, concerne une centaine de prêtres qui ont laissé la soutane pour le bleu des ouvriers, et se confrontent à ce qu'ils nomment, ''l'exploitation capitaliste''. Le roman de Gilbert Cesbron, Les saints vont en enfer (1952) est un très bon livre qui reconstitue la vie d'un coin de banlieue industrielle, dans lequel un prêtre ouvrier doit trouver sa place.
En 1953 Le nouveau nonce apostolique à Paris, Paolo Marelle, qui succède à Giuseppe Roncalli ( le futur Jean XXIII), reçoit pour mission de mettre un terme à l'expérience des ''prêtres-ouvriers'', pour son imprégnation marxiste.
La Mission de France et son séminaire établi à Limoges, sont également tenus pour suspects.
Lancelot, étudie les répercussions sur les milieux intellectuels et les politiques, qui s'intéressent à ces questions, alors qu'elle ne pourraient sembler qu'ecclésiastiques. Edmont Michelet ( RPF) s'inquiète des répercussions sur le prestige de la France ; des députés socialistes protestent contre « la convocation, par un nonce, des cardinaux français... ». Des catholiques français dénoncent l'ingérence dans l'Eglise de France : « Il s’agit de savoir si les évêques sont les successeurs des apôtres ou de simples préfets... » ( J. Lacroix, dans Esprit, décembre 1953).
Mauriac s'interroge: « peut-être... Il faudrait que des hommes mariés, s’ils sont ouvriers et saints, puissent être prêtres et distribuer le pardon et le corps du Seigneur à leurs camarades. » ?
Le 8 février 1954, sous la pression de Rome, une « purge » ( mot du père Congar) frappe les dominicains de France, soupçonnés, entre autres choses, d’inciter les prêtres-ouvriers à la résistance. Les trois supérieurs provinciaux sont « invités » à remettre leur charge, les pères Congar, Chenu, Boisselot et Féret écartés.
Dans le Figaro du 16 février 1954, François Mauriac plaide « pour un nouveau concordat » qui protégerait l’Église de France contre les interventions désastreuses des congrégations romaines. Il plaide pour une reconquête spirituelle dans des milieux où l’Église est discréditée. Il juge que le prêtre de Gilbert Cesbron ( Les Saints vont en enfer) est plus accordé au monde tel qu’il est ; que celui de Bernanos.
« S’il faut choisir entre l’efficacité apostolique et l’intégrité sacerdotale, je choisis l’intégrité sacerdotale. » répond Pie XII
Tout au long de cette crise, Lancelot est chargé d'organiser des rencontres ( secrètes) entre le gouvernement français et le Saint-Siège. Robert Lecourt ( 1908-2004, député MRP), Alfred Michelin et Mgr Jean Villot (1905-1979) sont chargés de négocier, en tenant compte de la question de l'enseignement privé. Georges Bidault souhaiterait même un ''Concordat''.
En décembre 1953, un texte, un memorandum est prêt : il concerne entre autres, la nomination des évêques, l'Ecole avec un régime souple mais complexe, de coopération substitué à la loi Barangé. la représentation du Saint-Siège en France, ..etc.
Le document est remis par notre ambassadeur à Mgr Tardini le 8 janvier 1954.
Le 1er mars 1954, prend fin officiellement, l'expérience des ''prêtres-ouvriers''.
Un problème de santé du pape, la ''rébellion des prêtres-ouvriers'', une campagne de presse ( l' article de François Mauriac), l'arrivée au pouvoir de Mendès France en juin, empêchent la négociation autour d'un ''concordat'' de se poursuivre ; elle devra attendre 1956, pour que le Président du Conseil Robert Lecour et Lancelot organisent des séances de travail, dans lesquelles s'investit Guy Mollet.
En mars 1957, Lecourt et Michelin rencontrent Mgr Tardini, pour qui le texte soulève trop de questions, « trop de principes qui ont valeur générale pour l’ensemble de la catholicité ». Après la chute de Guy Mollet, le 22 mai 1957, les présidents suivants se désintéresseront de la majorité des autres questions religieuses, pour s'attacher à la question scolaire.
De façon très inhabituelle, Anne-Laure de Sallembier s'est couchée avant le repas du soir ; elle avait simplement demandé à Madeleine de faire manger Elaine, et de la coucher. Elle se sentait fatiguée, et avait besoin de récupérer. Le lendemain, Madeleine appelait Lancelot à Paris, pour lui faire part de son inquiétude sur la santé de sa mère. La comtesse de Sallembier n'a plus quitté son lit ; et Lancelot vécut les semaines les plus intenses et douloureuses de sa vie.
Après la visite du médecin, et quelques analyses effectuées dans une clinique aux alentours de Paris. La mère de Lancelot exprime son impérieux souhait de revenir à Fléchigné, et de mourir nulle part ailleurs !
Pourquoi Fléchigné ? Parce que une part de soi est ici, parce que cette maison a toujours été un refuge, ce dont elle a besoin à présent. « Ici, je continue à vivre, dit-elle, ailleurs je commencerai à mourir. »
« Si je meurs, dans mon logis, ma présence continuera à vous accompagner ».
Lancelot fit déménager la plupart des meubles de sa chambre dans un petit salon du rez-de-chaussée. Ainsi, pendant la journée, Anne-Laure restait proche de chacun ; et pour la nuit il a été aménagé un coin nuit dans le grand salon pour la personne qui la veillait.
Une infirmière a secondé Madeleine pour les soins, le médecin venait régulièrement, et n'hésitait pas à proposer de la morphine pour atténuer les douleurs.
Lancelot est resté présent, le plus possible proche, frappé par l'abandon progressif de sa mère pour les soucis matériels, et la confiance qu'elle faisait à Madeleine en lui abandonnant tout.
Anne-Laure ne fut jamais irritée envers quiconque, elle semblait plutôt désolée du souci qu'elle donnait à chacun.
C'est à Elaine ( dix ans), qu'elle semblait vouloir raconter encore beaucoup de souvenirs ; la dernière semaine, elle n'en avait plus la force et priait Lancelot de continuer sur l'idée qui lui venait.
Alors, elle fermait les yeux et écoutait Lancelot évoquer certains personnages qu'elle avait connus, sa main acquiesçait ou s’agitait pour réfuter...
Lancelot savait que sa mère était rassurée de partir, entourée de ses proches, en particulier de son fils et de sa petite fille.
« Vous serez mes passeurs » leur avait-elle dit, alors qu'elle feuilletait, comme souvent, les cartes du Tarot. Elle avait devant les yeux l'arcane XIII.
« Il ne faut pas craindre cette image, disait-elle, elle peut apparaître comme la ''lavandière du gué'' annonciatrice d'un malheur, alors qu'elle n'est que l'annonce d'un passage, donc l'instructrice d'une connaissance. Dans notre tradition du Graal, la carte représente aussi la Jérusalem céleste. Elle est le but ultime du pèlerin, le terme de la croisade du templier.
Durant l'existence de nos ancêtres, le Graal avait quitté la Terre sainte pour l'Occident ; pour que la société arthurienne puisse donner à notre monde la dimension sacrée et spirituelle à laquelle nous aspirons. Aujourd'hui, ce Graal que nous cherchons, nous reconduit, par la Foi et la Raison, jusqu'à Jérusalem. »
Elle rappelait souvent, à la petite Elaine, que son grand-père Charles-Louis lui racontait des histoires de l'Autre Monde, tous deux savaient que nous utilisons les images de ce monde, pour évoquer le Vrai Monde ; celui où elle se rendait...
« Si nous parlons en légendes, c'est qu'elles sont bien plus que ce que la plupart des gens se représentent. »
Elle confiait à sa petite fille comment Lancelot, fut le plus beau cadeau que la vie lui avait fait, et comment sa bonne fortune lui a permis de vivre intensément la fin d'une époque aristocratique mais réservée, il est vrai, à une petite partie de la population.
Anne-Laure avait raconté comment elle avait découvert ce monde avec Elisabeth de Gramont en particulier. Elaine se souvenait comment cette jolie demoiselle avait choisi un beau jeune homme, Philibert de Clermont-Tonnerre (1871-1940) comme époux. Elle s'installe alors en Bourgogne, a une petite fille Béatrix ; et elle s'ennuie, revient à Paris avenue Kléber... Anne-Laure et Elisabeth courent les salons, celui de madame Strauss, de Madeleine Lemaire où on pouvait voir Proust, de Robert de Montesquiou ; mais, Philibert est jaloux, violent, elle perd sous ses coups son deuxième bébé !
Anne-Laure a déjà raconté la comtesse Greffulhe, magnifiée par Proust, mais qu'elle ne reçut que vers 1904, quand sa fille épousa Armand de Gramont, ami de Proust. Sa fille, c'est Elaine Greffulhe.
Lancelot rappelle aussi qu'il y avait Anna de Noailles..
Anne-Laure a rencontré la théosophie, a fait tourner les tables. Elle s'est passionnée pour l'étude de la nature, elle fréquentait Camille Flammarion: elle se persuadait que l'idée de Nature, englobe le divin, l'humanité et l'univers... Tout le visible est le miroir de l'invisible ; et l'invisible devient simplement ''naturel''.
D'autres expériences vont enrichir sa représentation du réel, son passage au Figaro, puis au 'Mercure de France'.
Jean-Baptiste de Vassy ( J.B) disciple du mathématicien Henri Poincaré, et admirateur d'Henri Bergson, était passionné d’aviation. Il fut le compagnon de sa mère et une figure paternelle pour Lancelot, il a accompagné Anne-Laure jusqu'à sa disparition au début de la grande guerre ; avec lui elle a rencontré Bertrand Russell, et indirectement Bernanos.
L'esprit, chez les officiers comme J.B, est à la communion dans des valeurs traditionnelles, ils se considèrent comme les lointains héritiers de la chevalerie ; ce que J.B. n'avait pas manqué de développer avec Lancelot ...
Anne-Laure a beaucoup voyagé, en Allemagne, en Italie, en Angleterre et en Ecosse; sur son chemin... le Graal. Sur le chemin, également, une rencontre essentielle, celle du couple Maritain et de tous ceux qu'ils fréquentaient.
L'Italie, c'était avec Edith Wharton, en 1908.. Mais surtout, beaucoup l'Allemagne, et la passion des auteurs allemands.
On a parlé de Vanessa Bell, et du groupe de Bloomsbury, de son ami Paul Painlevé. Puis il y eut la Guerre et ses interventions auprès des allemands, jusqu'au retour à Fléchigné; l'accueil de réfugiés. La visite de Félix, était attendue, et ''ses fruits'', inattendus... !
A sa naissance Lancelot reçoit, par sa mère, une mission : le Graal. La légende arthurienne fournit dans sa version chrétienne, un ensemble d'images qui balisent une voie, en correspondance avec le message du Christ, qui traverse les siècles. L'origine de ces images s'inscrit dans la symbolique médiévale et se confronte, parfois avec difficulté, à la modernité. Pourtant, au XXIè siècle, le Graal reste toujours le chemin et l'objectif.
Avant toute chose, avant même le Graal ; Lancelot a reçu de sa mère et de ceux qui l'entouraient, une Tradition.
Et c'est cet héritage, d'abord reçu, puis fructifié, qu'Anne-Laure espère avoir laissé à son fils.
Effectivement, pour Lancelot, ce qui caractérise le chemin emprunté par sa mère, c'est son attachement à la Tradition.
La comtesse de Sallembier avait en horreur l’idée de Révolution ; elle impose la destruction d'une structure, d'un squelette élaboré au cours des siècles, à partir de la vie des gens.
La question du vrai et du bien, ne peut être résolu par un seul personnage qui ferait table rase du passé.
Pour Anne-Laure :
La Tradition est une somme de ''références'' vécues.
Une Tradition se transmet, se reçoit. C'est une caractéristique de notre humanité.
Une Tradition se vit, au présent. Elle est communautaire, et ne se comprend qu'en ''disputatio''.
Une Tradition ne dépend pas forcément du même référentiel que la connaissance du moment. Il y a malentendu quand elle se confronte à elle, sans ce discernement, comme par exemple lors du procès de Galilée. La raison seule, ne suffit pas à vivre la Tradition.
La Tradition n'est pas une opinion ; elle les nourrit mais ne la fige pas.
On pourrait se demander, s'il y a des traditions erronées ? - Il y aurait plutôt des pratiques erronées.
La dernière semaine, Lancelot est revenu avec Geneviève. Il a fait une surprise à sa mère, en apportant à Fléchigné un combiné radio-tourne-disques ; une boite en bois plaqué acajou, et la façade en plastique et tissu. Le son est impeccable sur toutes les gammes, et a remplacé avantageusement le vieux poste. Quelques disques 33 tours-minutes de musique classique l'accompagnent.
Anne-Laure souhaite écouter des chants grégoriens de l’abbaye de Solesmes.
Un soir, ils écoutent le Miserere mei Deus (Psaume 50), ils pleurent ensemble ; ils se regardent et rient. Anne-Laure dit qu'elle n'a jamais été plus heureuse.
Ces deux derniers jours, Anne-Laure n'était déjà plus là ; pourtant cette dernière nuit, elle et Lancelot ont partagé comme ils ne l'avaient plus fait depuis longtemps. Au matin, Lancelot qui la veillait, s'est réveillé, elle le regardait. Il s'est approché, elle a fermé les yeux et nous a quitté.
Elle lui avait dit : « Et si la mort, était un accomplissement.. ? » et « De quoi, de qui pourrais-je avoir peur ? »
A ce jour, relevons quelques questions politiques que le gouvernement français se posent quant à la construction européenne, et face au danger d'une suprématie soviétique en Europe...
Faut-il laisser l'Allemagne se réarmer ?
Faut-il garantir la sécurité de l'Europe par les Etats-Unis ?
Faut-il envisager une Europe de la Défense, comme il existe une Europe de l'acier et du charbon ?
En 1950, Churchill se montrait favorable à une participation allemande à la défense européenne, par la création d’une armée européenne. Mais la France restera déçue par la position britannique, qui refuse l'idée de placer ses troupes sous un commandement unique, non britannique ; et rejette toute initiative européenne de caractère fédéral.
La France s'engage dans un choix européen, alors que les britanniques choisissent la coopération avec les États-Unis, et craignent une Europe « supranationale ».
En 1951, à Paris, débute une Conférence sur la création d'une Communauté européenne de Défense (CED). Il s'agit d'un '' projet de création d'une armée européenne, avec des institutions supranationales, placées sous la supervision du commandant en chef de l'OTAN, lui-même nommé par le président des États-Unis.'' ( wiki). Avec René Pleven, la France est à l'origine de la démarche.
En mai 1952 : le traité est signé à Paris, mais il doit être ratifié par les parlements nationaux des différents pays signataires ( France, Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Luxembourg, Italie).
Raymond Aron, note alors que « Sur la CED se déchaîna la plus grande querelle idéologico-politique que la France ait connue depuis l’affaire Dreyfus »
Une forte opposition s'organise chez les communistes, les nationalistes, inquiets d'une perte de souveraineté ou d'une remilitarisation allemande, et les neutralistes.
Le pape Pie XII, lancent des appels pressants à soutenir le projet européen et la CED. Au point, où le Grand Orient de France dit craindre « une Europe vaticane, instrument de restaurations politiques et religieuses. »
Pendant ce temps, la politique d'un Pierre Mendès-France (PMF), apparaît comme le seul recours.
En effet, cet été 1954, l'Empire français rend l'âme, en Indochine, l'échec de Dien-Bien-Phu (7 mai) nous accule à négocier la paix. La rébellion s'étend en Afrique du Nord. Moscou et Washington, intriguent pour une Europe à leur souhait.
P. M. F. a 47 ans, il reçoit l'investiture du Président Coty et dirige le gouvernement français entre le 18 juin 1954 et le 5 février 1955. François Mitterrand est son ministre de l'intérieur. PMF négocie directement avec le Viêt Minh, et le 23 juillet, l'assemblée nationale approuve les accords qui clôt la guerre d'Indochine ; mais devra démissionner - 9 mois plus tard ..! - sur la question algérienne.
La religion de Mendès, c'est la politique. Pour le reste, il s'affiche non-croyant.
Alors que surviennent, un grave accident de santé du pape et, en France, une campagne de presse, soutenant « la rébellion des prêtres-ouvriers » dont l'article de François Mauriac; Mendès-France se rend à Rome les 11 et 12 janvier 1955. Il rencontre les dirigeants italiens et le pape Pie XII, qui a tenu à le recevoir malgré ses problèmes de santé. Le président en sort bouleversé ; aux quelques personnes qui l'ont accompagné dont Lancelot, il confie : « A présent je comprends ce qu'est la grandeur ! ». Il constate que le pape est au courant, avec précision et compétence, des sujets qui préoccupent les français.
La rencontre avait été bien préparée et Lancelot entend que les prélats ont reconnu dans le Président du Conseil français, un homme de bonne volonté, alors que d'Ormesson était sceptique...
Lancelot dit de lui qu'il était têtu, et qu'il pouvait être cinglant ; avec ses proches, Mendès-France était peu conciliant, et sa politique de gauche ne souffrait pas de s'accorder au centre. Son successeur - aussi du Parti Radical - Edgar Faure (1908 – 1988), est son opposé.
Une chose que nous retenons de PMF, c'est '' le verre de lait ''qu'à dix heures tous les élèves boivent, distribué dans les écoles pour lutter contre la dénutrition et l’alcoolisme.
Le 30 août 1954, Pierre Mendès-France demande à l'Assemblée Nationale de se prononcer sur la ratification du traité sur la création d'une Communauté européenne de Défense(CED).
Les démocrates-chrétiens du MRP, déjà favorables à l'Europe des Six, sont pour. Les gaullistes et les communistes votent contre, les radicaux et les socialistes sont partagés.
- La CED est rejeté par l'Assemblée nationale française par 319 voix contre 264.
L'échec de la CED, va précéder l'éloignement de Mgr Montini ( futur Paul VI) nommé à Milan ( décembre 1954) , acquis par le parti romain, hostile à sa politique de dialogue avec l'Est.
La Légende arthurienne est le ''véhicule'' d'une quête personnelle ... à travers une lignée et les siècles...
Chronologie
Louis VII de France, (1120-1180), roi des Francs de 1137 à 1180.
Henri II d'Angleterre (5 Mars 1133 au 6 Juillet 1189)
Aliénor d'Aquitaine (1122 ou 1124 à 1 Avril 1204)
Marie , comtesse de Champagne (1145 - 1198) est la fille aînée de Louis VII de France et de sa première épouse, Aliénor d'Aquitaine .
Geoffrey de Monmouth, Historia regum Britannie 1136 (latine)
Wace (1100- 1174) Roman de Brut , c. 1155 (anglo-normande)
Chrétien de Troyes (1135-1185)
Wolfram d'Eschenbach ( 1170-1220)
- La cathédrale d'Otrante, c. 1163 Mosaique : Rex Artirus
- ''Découverte'' de la tombe d'Arthur : 1190 (latin ) rapportée par Gerald of Wales
Le cycle de la Vulgate : la Queste del Saint Graal , la Mort (le roi) Artu , le Lancelot , le Estoire del Saint Graal , et la Vulgate Merlin c. 1215-1235 (Français)